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Die Beurteilung des Synodalen Wegs durch die römische Kurie ist nur zu verstehen, wenn man die Theologie von Joseph Ratzinger/Benedikt XVI. in den Blick nimmt. Die deutsche Kirche – so sein Vorwurf - versucht ein Lehramt der Theologen zu installieren. Sie verunsichert damit die einfachen Gläubigen und macht Kirchenreform zu einem elitären akademischen Projekt. Es erstaunt, dass Benedikt XVI., der zu den Reformern auf dem Zweiten Vatikanischen Konzil gehörte, zu dieser negativen Sicht kommt. Für Erich Garhammer, der bei Ratzinger studierte, steckt dahinter auch eine biographische Erfahrung, nach welcher der Begriff "Reform" für den jüngst verstorbenen Benedikt XVI. etwas Bedrohliches und sogar Zerstörerisches wurde.