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“C’est étudié pour”... “Les gens sont méchants”... “Y’a comme un défaut”... “Ça eût payé, mais ça paye plus”... sont des formules passées dans le langage populaire. Leur auteur ? Le merveilleux comique Fernand Raynaud. Quand il entrait en scène, avec sa démarche de canard et son visage semblable à un masque de caoutchouc, vêtu d’un pardessus trop large, coiffé d’un chapeau rond, la salle entière éclatait de rire. Avec ses airs de chien battu, il s’emparait du public et ne le lâchait plus. Il avait inventé aussi une autre formule qui tenait en un seul mot : “heu-reux !”. Mais, heureux, l’était-il vraiment, lui qui disait : “Je suis devenu un comique parce que j’ai souffert”. Dans ces pages, le journaliste Georges Debot, qui a vécu pendant des années dans l’intimité de Fernand Raynaud, nous conte les combats que dût livrer, avant d’imposer les personnages de son univers, celui que le public avait fini par appeler, simplement, par son prénom.