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À l’âge de vingt et un ans, Georges Coulonges travaillait dans sa natale forêt girondine. Il exerce « tous les métiers des gens sans métier », avant de devenir ce « touche-à-tout-à-succès » qui entre au théâtre pour offrir à Jean-Louis Barrault son triomphal Zadig, donne à la télévision un Pause-café record d’écoute, sans parler des textes de quelque Potemkine chanté par Jean Ferrat, laissés négligemment dans le domaine de la chanson. * Il revenait à cet autodidacte aux œuvres saluées par la jeunesse de peindre pour nous l’un de ces méconnus Lycées d’Enseignement Professionnel dont les portes s’ouvrent sur la rue, la banlieue, le risque. Mauvaise orientation scolaire, violence, alcoolisme, chômage, délinquance, prostitution sont, pour aujourd’hui ou pour demain, les réalités auxquelles Joëlle Mazart, jeune assistante sociale, est confrontée. Parviendra-t-elle, dans ces difficiles conditions, à sauver ce couple formé avec Lionel, conseiller d’orientation ? * Des personnages, des mœurs, un langage de notre temps. Un regard posé sur ceux que l’on ne veut pas voir. Coulonges leur donne la parole. Et parfois, il gueule avec eux. Pour eux. Joëlle Mazart : un roman qui ne doit pas tomber dans l’oreille d’un sourd.