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Ein unbeschreibliches Gefühl durchrieselte meinen Körper, als ihre spitzen Nippel über meine strammen Eier streiften. Ich glaubte, heiße Nadeln würden meinen Körper berühren. Lüstern streifte sie mit ihren Fingern über meine Oberschenkel. Immer wieder schob sie meinen Schwanz in ihren Mund hinein und heraus, bis mein Pimmel immer stärker zu zucken begann und sich die ersten Tröpfchen als Vorboten meiner Entladung an der Eichelspitze zeigten. Das Zucken wurde immer krampfhafter. Während Frau von T. meinen Schwanz fast ganz im Mund hatte und mit ihren Wangenmuskeln fest zusammenpresste, lutschte und saugte sie hingebungsvoll daran. Obwohl ihre Lippen den Schwanzschaft zusammendrückten, bahnte sich mein Lustsaft einen Weg durch die Harnröhre und spritzte in einem gewaltigen Strahl in ihren Mund. Ich musste alle Kraft aufbieten, um nicht durch Stöhnen, Keuchen und Grunzen meine Wolllustgefühle zu verraten. Als Frau von T. aufhören wollte zu lecken, bat ich sie leise: "Madame, bitte saugen sie weiter! Ich hab' zu viel Saft in meinen Eiern, denn die Comtesse hat mich zum Witwer gemacht."