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Die alliierten Kunstrestitutionsprogramme der ersten Nachkriegsjahre sind bislang kaum untersucht worden. Anknüpfend an zeithistorische Forschungen zur Besatzungspolitik zeichnet Emily Löffler in ihrem Buch die französischen und amerikanischen Programme nach: von 1944 bis zur Übergabe der Kulturrestitution in deutsche Hände zu Beginn der 1950er Jahre. Sie verortet sie im Kontext der alliierten Kultur- und Besatzungspolitik und analysiert, wie bestimmte Konzepte von Kulturerbe und patrimoine die Restitutionen im Spannungsfeld von interalliierter Kooperation und nationalen Eigeninteressen prägten. Das Buch gibt wichtige Impulse für die Geschichte der Kunstgeschichte, für Forschungen zu Restitution und Wiedergutmachung und versteht sich nicht zuletzt als Beitrag zur Grundlagenforschung für die Provenienzforschung.