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Kurt von Schleicher, Reichswehrminister und letzter Kanzler der Weimarer Republik, erscheint in seiner politischen Haltung intrigant, widerspruchlich, undurchsichtig und auch wankelmutig. Irene Strenge belegt in der vorliegenden Untersuchung, dass von Schleichers politische Tatigkeit jahrelang und kontinuierlich einer Linie folgte, die dann in der Ubernahme des Kanzleramts gipfelte. Das politische Credo von Schleichers war unwandelbar von Zielvorstellungen gepragt, die es nach seiner Einschatzung vor ultralinken und ultrarechten Kraften sowie vor auslandischen Machten zu schutzen galt. In der Ausweitung der Staatsautoritat sah er den einzigen Weg, diesen Gefahren zu begegnen, weshalb er den Ausbau der Vormachtstellung des Reichsprasidenten vorantrieb - auch auf Kosten der Position des Kanzlers, der seinerseits von dem Vertrauen des Reichsprasidenten abhing. Ein Umstand, der von Schleicher schliesslich selbst zum Verhangnis wurde.