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Julián Herbert narra con gran maestría un hecho real olvidado: la masacre de 303 chinos en Torreón durante la Revolución mexicana. A principios del siglo XX, con el mito de modernidad y progreso en el centro del discurso porfirista, un hecho sacudió la historia de México: entre el 13 y el 15 de mayo de 1911, alrededor de trescientos chinos -cerca de la mitad de la colonia cantonesa de La Laguna- fueron masacrados por tropas revolucionarias y ciudadanos de Torreón. Se trata de la matanza de chinos más grande de América, un exterminio cargado de falso remordimiento y sinofobia ejemplar. Julián Herbert, Premio Jaén de Novela 2011 por Canción de tumba y Premio de Novela Elena Poniatowska 2012, ofrece al lector un potente relato que supera la mera descripción con el propósito de poner fin al silencio y contraponer el suceso a la violencia contemporánea. El resultado es una obra audaz, construida a partir de la mirada literaria y la experiencia directa, que ahonda en una de las principales preocupaciones estéticas de Herbert: poner en entredicho las fronteras entre los géneros literarios. La casa del dolor ajeno bebe lo mismo de la narrativa que del reportaje, la crónica gonzo, el ensayo y la academia, esta versión del «pequeño genocidio» es, más que una búsqueda de la verdad histórica, un intento por restituir dignidad a un grupo de migrantes. Reseñas:«Su poderoso estilo brilla constantemente a través del relato sobrio de los hechos.»El País «Armado de una rigurosa investigación, y sobre todo, una excelente pluma, Herbert ahonda en el pasado como quien relata el presente.»El siglo del Torreón