¤ « On voudrait toujours savoir ce qui est derrière la mort... Moi je crois que je ne peux pas connaître ma mort autrement que par amour... La mort et l'amour, ça se ressemble. Pour moi, la mort c'est une main qui s'ouvre et il s'en échappe d'incroyables volières... Ce n'est pas moi qu'on enterre, ce sont seulement mes souvenirs, moi je serai ailleurs là-bas, tout au fond du jardin. »
À travers l'histoire de Germaine et de sa révolte, Jean Debruynne propose un autre regard sur la vieillesse, au rebours d'une société qui la rejette. Et si, pour une fois, les personnes âgées prenaient la parole ?