Que la folie soit une figure de la Nature, que le péché lui-même, que le fou soit perçu comme l'autre en moi, qui me dégrade et me dépasse à la fois, ou que le cannibale soit distingué du bon anthropophage, la folie apparaît comme chose proprement humaine.
Dans cet ouvrage il est question du corps, du corps comme réalité totale et intime que les discours de la folie contournent plus qu'il ne l'approchent, démontent plus qu'ils ne l'écoutent.