La Macarena
La Vierge qui pleure et qui console
Si la Vierge de la Macarena est mondialement connue pour son éblouissante présence à la Semaine sainte de Séville, elle est aussi la plus mystérieuse : ciselée au XVIIe siècle par un artiste inconnu, les Sévillans sont persuadés qu'un tel chef-d'oeuvre n'a pu voir le jour que par l'intervention d'un ange. Mystérieuse par ce visage énigmatique, entre le sourire et les larmes, mystérieuse par le rayonnement quasi magique qu'elle exerce auprès de ceux qui l'implorent, cette vierge compatissante et douce, silencieuse et adorée, délivre grâces et bienfaits à ses fidèles.
L'auteur nous présente cette Vierge qui l'a exaucée par deux fois à travers le récit de la cérémonie de la Semaine sainte à Séville. « Cette Vierge que je porte désormais en moi comme un Trésor que je partage avec vous, chers lecteurs, par le biais de ces pages en forme d'ex-voto... »