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«?Comment s’arrêter sur le penchant de l’abîme???» se demandent Bouvard et Pécuchet, les héros de Flaubert, perplexes devant tous les possibles ouverts par l’âge des révolutions (1789, 1830, 1848). «?Le penchant de l’abîme?», c’est la limite imprécise qui s’impose à tous les réformateurs pris dans le rêve d’une nouvelle architecture de société, d’une maison commune ouverte à la fraternité de tous les hommes. Maison autonome ou maison hétéronome?? La culture occidentale tend, depuis des siècles, à penser le social au prisme de l’architecture. Un pareil habitus est l’œuvre du christianisme latin du haut Moyen Âge qui formule un rapport d’équivalence entre l’église et l’Église, le contenant et le contenu, avant que cette nécessité métonymique prenne une coloration théologico-politique dans le rapport dynamique de deux nouveaux termes, la ville et la cité. L’objet de La Maison commune des Modernes est de s’interroger sur le devenir de ce rapport, au temps de la grande reconstruction de société ouverte par la Révolution française. Les sciences de l’homme et de la société, spécialement la sociologie et l’urbanisme, viennent interroger radicalement la pertinence de la référence au divin et aux destinées transcendantes de la communauté humaine. Architecture divine ou architecture autoportante des hommes?? La maison commune des Modernes peut-elle se suffire à elle-même?? Et puis que devient cette maison commune à l’âge des grandes crises écologiques, lorsqu’il s’agit de sauver la planète que tous les hommes ont en partage?? Une ambitieuse étude d’anthropologie historique, qui clôt l’œuvre de l’auteur commencée avec La Maison Dieu (Seuil, 2006) et poursuivie avec Cité de Dieu, cité des hommes (Puf, 2016).