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Dans l’Antiquité, c’est aux philosophes qu’il revient d’éradiquer la peur de la mort. Philosopher, c’est se préparer à mourir, en apprenant à se dégager des peurs irrationnelles liées à l’idée de dissolution de soi. Ce souci de rattacher la mort à une dimension métaphysique est ensuite repris et poursuivi par les théologiens. Aujourd’hui, la peur de mourir est avant tout liée à la crainte de souffrir (trop) longuement, de perdre son autonomie intellectuelle et sa dignité humaine, et d’être destitué de sa liberté de choix. Ce qui prime, ce sont d’abord les craintes de dégradation physique. De ce fait, tout en accordant une place aux différents intervenants, la responsabilité d’orchestrer les conditions de fin de vie revient en premier lieu au corps médical.Pour traiter de la mort, brosser un tableau historique ne suffit donc pas. Actuellement, ce n’est plus tant la mort en soi qui intéresse ou interpelle, mais bien plus la question concrète du mourir : quand ? comment ? Traiter de la mort et du fait de mourir, c’est tenter de prendre en compte ces différentes dimensions, d’éclairer par la tradition la différence avec l’actualité. Et si la mort est devenue une affaire qui concerne toute la société et non plus uniquement la sphère privée, ce n’est pas pour autant que l’individu peut être dispensé d’y réfléchir à titre personnel.