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In der völlig neuen Romanreihe "Fürstenkrone" kommt wirklich jeder auf seine Kosten, sowohl die Leserin der Adelsgeschichten als auch jene, die eigentlich die herzerwärmenden Mami-Storys bevorzugt. Romane aus dem Hochadel, die die Herzen der Leserinnen höherschlagen lassen. Wer möchte nicht wissen, welche geheimen Wünsche die Adelswelt bewegen? Die Leserschaft ist fasziniert und genießt "diese" Wirklichkeit. "Fürstenkrone" ist vom heutigen Romanmarkt nicht mehr wegzudenken.
Astrid Christenson lenkte ihren alten klapprigen Kleinwagen über die Landstraße. Sie fuhr sehr langsam, um die sommerliche Pracht der Landschaft bewundern zu können. Manchmal schweiften ihre Gedanken zu ihrer Tante Agathe zurück, bei der sie sechs Wochen verbracht hatte. Agathe Tieders war ihre einzige Verwandte, die Schwester ihrer Mutter, und sie war schwer krank. Sie hatte schon den zweiten Herzinfarkt erlitten, und der Hausarzt hatte ihr anvertraut, dass Tante Agathe einen dritten Infarkt wohl kaum überleben würde. Arme Tante Agathe, dachte Astrid. Sie mochte die alte Dame sehr, denn sie war trotz ihrer schweren Krankheit stets heiter und gelassen. Astrid lenkte ihren Wagen in die breite Allee ein, die schnurgerade auf Gut Palmen zuführte. Hohe Pappeln säumten die Straße, rechts und links erstreckten sich Wiesen und Felder. Ihr Herz klopfte schneller, als sie die hellen Mauern des Gutshauses auftauchen sah. Endlich, dachte sie, und ein Seufzer kam über ihre Lippen. Endlich bin ich wieder bei Henning! Sechs Wochen hatte sie sich bei ihrer kranken Tante aufgehalten, und jeder Tag hatte mit sehnsüchtigen Gedanken an Henning geendet. Gut Palmen war in Hufeisenform angelegt. In der Mitte erhob sich breit und mächtig das Herrenhaus, rechts und links erstreckten sich die niedrigen Stallungen und die Gesindehäuser. Astrid parkte ihren Wagen im Schatten der hohen Blutbuche vor dem Haus. Sie stieg aus und schaute sich um. Hier hatte sie das Gefühl, zu Hause zu sein. »Hallo, Herr Weiß!«, rief sie, als sie den Verwalter des Gutes aus den Stallungen kommen sah.