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L’immeuble de l’architecte Auguste Labussière, 124-126 avenue Daumesnil à Paris, s’inscrit dans une série de bâtiments pensés au début du XXe siècle, pour aider et réformer la partie la plus pauvre de la société française. Il fait figure de chaînon essentiel dans le développement de l’habitat populaire opéré alors par les organisations philanthropiques. Cette réalisation est partie intégrante d’une expérimentation concertée, qui contribue à créer une façon de vivre, inventée par des nantis, pour éduquer des démunis à aimer leur « chez-soi ». L’étude de Monique Eleb révèle la mise en route d’une certaine forme de réflexion sur la constitution du logement social au moment de son émergence, et met en lumière un monde particulier, où bourgeoisie et classe ouvrière se retrouvent face à face, la première ayant un projet pour la seconde. À travers une monographie de bâtiment, et l’étude de la politique de la Fondation GMO (Groupe des maisons ouvrières), mieux connue aujourd’hui sous le nom de sa bienfaitrice, Mme Jules Lebaudy, l’analyse propose plusieurs points de vue sur une opération de logements des premières années du siècle. Elle met en rapport les débuts des réflexions concertées sur l’habitat populaire (commande, idéologies mises en œuvre, travail architectural), et l’étude de la création d’une forme d’habitat, qui deviendra une des images stéréotypées des habitations à bon marché. Cette expérience appartient aujourd’hui à l’histoire, mais elle peut guider la réflexion contemporaine sur la conception de l’habitat.