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Joya curiosa y obra maestra del Romanticismo alemán, traducida hoy por primera vez al español, ?Las vigilias de Bonaventura? aparecieron de forma anónima en 1805, y fueron atribuidas a Brentano, Schelling o E.T.A. Hoffmann, aunque hoy se tienda a pensar en un más bien desconocido August Klingemann (1777-1831). En todo caso, en la duodécima noche, el narrador, expósito, nos habla de un «poeta famoso» que se corresponde con curiosa exactitud al que podemos imaginar autor de estas páginas: «descubrí que tenía la nariz de Kant, los ojos de Goethe, la frente de Lessing, la boca de Schiller y el trasero de varios hombres famosos». Durante dieciséis noches, seguiremos los pasos de un vigilante nocturno, y con él descubriremos, en sus rondas apocalípticas cargadas de humor negro, lo falaz del discurso que cree en la razón como bálsamo y el avance de la ciencia como progreso. El presente se convierte así en una danza de la muerte secularizada y llena de ironía, mientras la música que la acompaña hace estallar, como una burbuja de jabón, cualquier didáctica construcción optimista.