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Schon der Prosaband "Kindheitswald" wies Elke Laznias Literatur als Klangereignis aus, als engstens verwandt mit Musik. "Ein Großpoem in neun Gesängen" nannte ihn Karl-Markus Gauß in der Neuen Zürcher Zeitung. "Salzgehalt" brachte der Autorin dazu das Siegel "Absolutistin des Gefühls" ein. Und in "Lavendellied" treibt sie beides weiter voran ... Mehr als ums Erzählen an sich geht es Elke Laznia um Bilder, um den Atem und Rhythmus der Worte. Das Fassbare und Unfassbare von Nähe und Zeit unterwirft sie einer zugespitzten Form, die vom breiteren Strom zu immer stärkerer Verdichtung gerät. Selbst ganz gewöhnlichen, tausendfach benutzten Worten ringt sie die eine - die eigene - Sprache ab. Diese leuchtet dann wie ursprünglich, was die Leser betört und erschüttert.