Le cerveau de mon père
Une épouse qui ressemble de plus en plus à une mère, des enfants que l'on ne reconnaît plus, un monde auquel on ne comprend décidément rien : cet homme, autrefois si fort, semble désormais perdre pied, sous le regard inquiet de son fils.
Jonathan Franzen évoque son impuissance face à la maladie, et s'aventure en secret dans Le cerveau de son père.
« J'ai regardé le réveil et il était en train de se raser à deux heures du matin. »