La Grande Guerre a exalté chez Rielo les valeurs dans
lesquelles il se reconnaît, tout en lui laissant le goût amer
d'une dernière bataille perdue.
Dans les quartiers du New-York de la Prohibition, il erre,
progresse et se confronte à d'autres protagonistes, les
clans rivaux, les industriels véreux : Don Larrini, Gramsçi,
O'Ryan l'Irlandais, Kiewicz. À leurs méthodes, à leurs
codes.
Mais que ce soit le long des canaux de Venise ou des rues
de la Grande Pomme, l'élément liquide n'est pas bien loin :
l'eau, la sueur ou le sang.
La violence nue dont même l'étreinte de Léa ne peut
adoucir l'âpreté.
Bien au contraire.