Tout l'art du grand Guitry et tout le bonheur du théâtre.
Le cocu qui faillit tout gâter : encore une création à l'âge de vingt ans. Quelle maturité humoristique ! Autant d'habileté dans la versification de ces octosyllabes, ce plaidoyer de l'amant qui réussit à convaincre le mari trompé de la magnificence de son cocufiage, forçant ainsi l'admiration de son entourage –; un pur bijou. Léger, subtil... hilarant. L'équivalent théâtral de La Petite Musique de nuit de Mozart !
Publié avec le soutien du CNL