Pourquoi, dans les débats actuels concernant la "fin de la nature" et le "ré-ensauvagement", personne ne parle-t-il de jardins ? Notre espèce réexamine sa place, ses responsabilités, dans le mouvement perpétuellement réciproque du vivant. Des jardiniers peuvent-ils aider à créer des équilibres bénéfiques à toutes les parties, humains et non humains ? Quelle place pour un "jardin planétaire" local, unique et "ensauvagé" ? Réponses à la fois historiques, philosophiques et pratiques