« Que ce soit dans l'évocation du Far West dans les années 1800 ou bien le récit des aventures d'une équipe de base-ball juive en 1920, James Sturm a toujours réussi à transformer les événements majeurs en histoires intimes. Ses images se dégustent tranquillement, sa narration est impeccablement maîtrisée.
Le Jour du marché n'y déroge pas. »
The New York Times
Un jour au marché, le grossiste de Mendleman refuse d'acheter ses tapis parce que son stock est, dit-il, trop important. La femme de l'artisan est sur le point d'accoucher : c'est la catastrophe. Lui qui était un artiste dans l'âme, tentant de saisir dans ses tapis brodés à la main la magie d'un lever de soleil ou d'une scène de rue, est soumis à la dure loi du marché. Dans ce remarquable roman graphique, Sturm dresse un portrait magnifique des communautés juives de l'Europe de l'Est au début du XXe siècle.
Le Jour du marché est aussi un conte moral, qui montre à quel point de nouvelles forces sociales et économiques peuvent affecter une vie.