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Peu de chefs d’État ont fait l’objet de jugements aussi caricaturaux et injustes que Guillaume II (1859-1941), dernier empereur d’Allemagne. Mais de quel pouvoir disposait-il vraiment ? De sa jeunesse à la cour des Hohenzollern à ses derniers jours en exil, Henry Bogdan brosse un portrait plus nuancé de cette figure majeure et controversée de l’histoire du XXe siècle et montre comment ses trente années de règne ont profondément modifié son pays. Pour beaucoup d’Allemands, son nom est associé à la Première Guerre mondiale et à la défaite. Du côté des vainqueurs, il est considéré comme l’un des principaux responsables de la guerre et comme celui qui a couvert de son autorité les exactions de l’armée allemande dans les pays occupés. Henry Bogdan donne un éclairage nouveau sur le rôle de Guillaume II pendant la guerre ; lui que ses généraux ont systématiquement écarté de la gestion militaire et qui le qualifient en même temps d’« empereur absent ». Homme cultivé et intelligent qui croit au progrès, le Kaiser accompagne et encourage le développement économique, met en place une législation sociale avancée qui fait de l’Allemagne d’alors le pays où la condition des travailleurs est la plus favorable. On découvre aussi qu’il n’est pas le monarque absolu que l’image traditionnelle a donné de lui. Tel était Guillaume II, mal-aimé de l’histoire, que la défaite et la révolution de 1918 forcèrent à l’exil aux Pays-Bas d’où il put observer, non sans crainte, le tragique chemin que Hitler faisait prendre à l’Allemagne.