Le Non de Klara
Ce récit se présente sous la forme d'un journal, celui d'Angelika, l'amie et belle-soeur de Klara qui revient d'Auschwitz à Paris en 1945. Le journal s'organise autour de la parole de Klara qui, jour après jour, pendant un mois, dévoile ce qu'elle a vécu. Pas de lamentations, mais elle dit froidement, avec force et violence, sa stupeur et sa colère permanente, son incapacité à accepter les codes de la vie redevenue normale.