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Henri, celui de « La Terre dans les veines », a vu Paris en 1931, lors de l’Exposition Coloniale. Il y revient, pour affaire d’héritage, en 1981. Mais si lui, Henri, n’a pas changé dans ses manières ni dans ses mots — il reste Solognot pure laine — la capitale, elle, a bien évolué. C’est le métro avec toutes les populations de la planète. Les rues et la circulation infernale. Les HLM, les voisins, les motos. Et où c’est déjà toute une histoire de trouver le bâtiment, le corridor et la porte. C’est encore le défilé des « homos », le cinéma coquin où on est volé sur la marchandise, les magasins à l’américaine, les restaurants à la chinoise, le salon agricole où les Parisiens apprennent dans les prospectus ce que les gens de la terre mettent leur vie à connaître. Paris c’est le modernisme, la mécanique, l’automatique. Et malgré que tout aille si vite, Henri se demande pourquoi le monde court encore plus vite que la musique. Il est épaté. Et, en même temps, il en étonne plus d’un. Le dépaysé n’est pas toujours celui qu’on pense !