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A lge de sept ans, j'ai eu un professeur de violoncelle qui s'appelait M. Litnick. M. Litnick tait la bont mme. Il avait un bras qui tremblait. Il ne pouvait plus jouer cause de ce bras qui tremblait. Et il ne pouvait plus enseigner car il n'inspirait plus confiance... Le jour o il est venu pour la dernire fois chez nous, je lui ai dit au revoir et je l'ai regard disparatre de ma vie par la fentre ? M. Litnick traversait la rue. Je pouvais voir de dos qu'il marchait avec chagrin. A l'arrt de l'autobus, il a lev les yeux vers notre appartement, il m'a vu la fentre, et il m'a fait un signe en soulevant son chapeau avec une gentillesse... Dans le sourire de Vienne, il y avait un encouragement identique, quelque chose que je n'avais pas vu depuis des annes, de tendre et d'humain, d'une solitude une autre... Quelque chose de vraiment inattendu de la part d'une femme mon gard.