Le Musée du Folklore et des Imaginaires, dit le MuFIm, raconte la vie tournaisienne au XIXe siècle. La meilleure manière de s'en imprégner serait-elle d'y passer une nuit ? De 20 heures à 8 heures l'arpenter à deux eurométropolitaines - l'une, belge, l'autre, française ?
On y écrirait à quatre mains au fil des découvertes et reconnaissances : lumière au néon, bruits insolites, souvenirs, appels de poésies, exploration de l'histoire du lieu, regards féministes sur les collections, mais encore geste de mères, qui ferait du tour des abandons le pivot de leur récit.