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Interrogée sur le plateau d’une émission populaire québécoise sur ses reportages hors normes dans des guerres (Tchétchénie, Irak, Afghanistan), où il ne fait pas bon être journaliste, et encore moins une journaliste femme, Anne Nivat, prix Albert-Londres, séduit si bien son auditoire qu’elle est invitée par un officier supérieur canadien à venir parler à ses hommes sur le point de partir pour une dernière mission. Non seulement elle accepte, mais elle obtient du major Pruneau et de ses supérieurs d’accompagner son détachement de 300 hommes sur le théâtre d’opération, la zone de Kandahar, ex-capitale mythique des Talibans. Une fois sur place, Anne Nivat, troquant le gilet pare-balles contre le tchadri bleu en nylon qui la soustrait aux regards sans l’empêcher d’observer, multiplie les allers-retours entre les différents acteurs de cette guerre sans fin dans laquelle des Occidentaux ont pris le relais des Soviétiques : troupes de l’Alliance occidentale, armée locale formée par ceux-ci, administration corrompue du président Hamid Karzaï se gavant des surplus de l’économie de guerre, sympathisants talibans, ex-Talibans, ex-moudjahidines, ONG plus ou moins désintéressées, candidats à l’exil, etc… La présence supposée de Ben Laden en territoire afghan ayant servi de prétexte à l’engagement occidental, que va-t-il en être de celui-ci après l’exécution du chef d’Al Qaida dans un bunker cossu au Pakistan ? C’est une des réponses que rapporte Anne Nivat, encore sur le terrain en mai 2011, dans ce grand document d’une journaliste d’exception.