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Les brutes et la punaise dissèque le phénomène des radios de confrontation, connues sous le quolibet de « radios-poubelles », et dont la plupart se trouvent à Québec. Dominique Payette y analyse la frontière ténue qui sépare journalisme d’opinion et manipulation politique, et livre ce salutaire rappel : si les médias ont le droit de prendre position, voire de soutenir des idées politiques, il est de leur devoir de le faire dans le respect des faits et, surtout, en laissant à leur public la liberté de ne pas être d’accord avec eux.
Il faut lire ce texte comme une réflexion inquiète sur la disparition des conditions nécessaires à un débat civilisé et rigoureux dans notre société. Comment invoquer la liberté d’expression pour justifier la prolifération de propos qui, de l’avis de plusieurs, empoisonnent l’atmosphère de la Cité ? Peut-être le temps est-il venu d’affronter les effets délétères du commerce des injures et de la haine.