Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
En 1973, à la ville comme à la scène, tout le monde sodomise tout le monde. Il est, bien sûr, de bon ton de clamer à haute et intelligible voix que l’on est un sodomiseur ou un sodomisé. Mais — attention, méfiance — il convient de le dire à mots couverts. Celui qui dit : Pierre encule Paul (ou Jacques ou Marie) est un malpoli. Je suis un malpoli. Enfin... Je croyais l’être. Pour une somme ridicule, j’avais promis aux éditions Julliard un texte absolument ordurier. Ce texte, j’ai eu beaucoup de mal à l’écrire. Parce que je n’ai pas la grossièreté aussi facile que je le croyais, parce que — c’est plus fort que moi —, c’est toujours mon proust qui finit par enculer mon céline. Bizarre. Mais c’est comme ça. C’est comme ça et c’est toujours assez bon pour ces maquereaux d’éditeurs.