Italie, années 1970.
De manifestations en ouvertures de squats, de radios pirates en cocktails Molotov, de débats sur la lutte armée en répression policière, Les Invisibles trace le portrait de ces jeunes gens qui se jetèrent corps et âme dans la révolution.
Dans une langue directe et flamboyante, ce roman fait vivre les deux faces de cette période, qu'on décrit aussi bien comme « un Mai 68 qui a duré dix ans », avec ses espoirs et son enthousiasme, que comme des « années de plomb » et leur cortège de
morts, de prisonniers et de désillusions.