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Quelle ivresse vais-je éprouver à tuer posément un pauvre bougre déjà à moitié mort ? Disons-le carrément, de la honte. Donner la mort ne peut se justifier que dans la violence de l’action. En dehors de cela toute exécution froidement perpétrée prend la forme d’un assassinat. Mais ce mot ne convient même pas, il a une résonance trop individuelle. Lorsqu’on fait la guerre, on détruit, on élimine, on gagne ou on perd. Qui parle de tuer là-dedans ? Tout se passe dans l’abstraction, les hommes n’ont plus de visages, on ne regarde que le fusil qu’ils ont dans les mains. La guerre n’a pas de morale : elle n’a que des objectifs. C’est avec étonnement que l’on découvre, après, qu’elle a été faite contre des êtres vivants qui ont versé un sang chaud, connu une souffrance humaine, pleuré des larmes véritables. Après seulement. Mais l’Histoire est amorale, elle n’a pas de conscience, voilà la grande leçon. Le drame, c’est que, faite par des hommes, elle n’a jamais eu le sens de l’humain. L’individu n’a grâce à ses yeux que s’il est un monstre ou un génie glacé. Napoléon sera toujours préféré à Saint-François d’Assise pour cette raison.