Texte original à l'intérieur du corpus zoologique d'Aristote, le livre I des Parties des animaux se présente comme un discours préliminaire à l'étude du vivant et, à travers lui, de la nature tout entière (défense de l'explication finaliste en physique, critique de la méthode platonicienne de division...). Une manière de faire de la philosophie naturelle considérée jusqu'à une date récente comme obsolète mais dont on redécouvre aujourd'hui la force et la permanence.