La famine régnait dans le village. L'un après l'autre, les habitants confiaient leur âme au Grand Esprit de la forêt avant de s'enfermer dans leur case pour mourir.
Bientôt, il ne resta plus personne, excepté Ndulu et sa grand-mère qui, toute vieille qu'elle était, se cramponnait à la vie pour ne pas abandonner son petit-fils.
Son tour vint, cependant.