Les Pibolous
« Cha qui n'a jhamé vu les Pibolous n'a rien vu »
Léontine Baillet
Depuis le début des années soixante, de Plume tes oies au Bal déterviré, en passant par la poésie de Maurice Fombeure, le théâtre en langue poitevine avec Les Pésans et Vilajhe à vendre, l'association Les Pibolous-Culture-populaire-et-loisirs a vécu une histoire peu ordinaire.
L'éducation populaire a forgé, élevé, instruit des centaines de jeunes qui se retrouvaient à la Mothe-Saint-Héray puis à la Cabasse de Vitré. Les soirées d'hiver et les nuits d'été furent souvent longues à Vitré, rythmées au son du ballet Voleur de filles, des Bals à la Cabasse, des Lanternes magiques de Jean Migault et également des stages de danses, de musique, des spectacles venus d'une autre culture.
Voici l'histoire d'un groupe dont le nom sonne comme celui d'une tribu : Les Pibolous.