¤ Terminus Belz
« Tantôt thriller qui dégrise, tantôt roman social inspiré, Terminus Belz déploie sa belle architecture et son écriture musicale jusqu'à la dernière page. »
Télérama
« Un premier roman à la mécanique implacable, aussi charpenté que les meilleurs Thierry Jonquet, aussi finement écrit que les histoires "atmosphère atmosphère" de Georges Simenon. »
Le Matricule des Anges
« Emmanuel Grand surprend et captive tout du long. »
Lire
« La révélation polar de ce début d'année. »
RTL
« Road trip d'un côté, huis clos fantastique de l'autre, polar littéraire assurément, Terminus Belz mélange les genres. »
Ouest France
« À la fois un excellent polar breton, ukrainien, roumain, mafieux et fantastique. »
Le Figaro littéraire
« Un singulier mélange de polar et de conte fantastique. »
Télé 7 jours
« Soyez maudits si vous passez à côté de ce livre ensorcelant. »
Paris-Match
Les salauds devront payer
Wollaing. Une petite ville du Nord minée par le chômage. Ici, les gamins rêvent de devenir joueurs de foot ou stars de la chanson. Leurs parents ont vu les usines se transformer en friches et, en dehors des petits boulots et du trafic de drogue, l'unique moyen de boucler les fins de mois est de frapper à la porte de prêteurs véreux. À des taux qui tuent... Aussi, quand la jeune Pauline est retrouvée assassinée dans un terrain vague, tout accuse ces usuriers modernes et leurs méthodes musclées. Mais derrière ce meurtre, le commandant de police Erik Buchmeyer distingue d'autres rancoeurs. D'autres salauds. Et Buch sait d'expérience qu'il faut parfois écouter la petite idée tordue qui vous taraude, la suivre jusque dans les méandres obscurs des non-dits et du passé.
Tantôt roman social trouble, tantôt thriller haletant, Les Salauds devront payer est une machiavélique histoire de vengeance. Emmanuel Grand y confirme son habileté à camper des personnages forts et à échafauder des scénarios diablement efficaces.