Alors que le succès des revues, des émissions sur l’Histoire n’arrête pas de se développer, des institutions françaises de leur côté n’ont de cesse de sacrifier notre patrimoine historique au nom de la repentance et du politiquement correct.
- L’Éducation Nationale, sous couvert d’ouverture au multiculturalisme, veut faire des élèves des « citoyens du monde » avant d’en faire des citoyens aimant leur pays.
- Après la suppression de Clovis et Saint-Louis, l’immolation de Louis XIV et Napoléon, c’est maintenant la Seconde Guerre mondiale et le Débarquement qui disparaissent des programmes d’Histoire. Quant aux Terminales, pour certains, elle sera éliminée.
- Les élites intellectuelles et médiatiques s’érigent en Ayatollah de la pensée unique.
- Les groupes communautaires deviennent l’enjeu d’hommes politiques qui instrumentalisent l’Histoire à leur profit dans un but électoraliste, d’où la multiplication des lois mémorielles : Tobira, génocide arménien…
La discréditation de notre passé entretient cette détestation de soi qui sommeille en chaque Français. Il nous manque cette fierté que l’on sent chez les Américains, les Chinois, les Indiens, les Britanniques, les Espagnols, les Brésiliens et qui est manifeste dans leurs manuels comme dans leur admiration pour leur héritage.
Plus qu’un coup de gueule, ce livre est une déclaration d’amour à l’Histoire de France. Non, notre héritage n’est pas honteux, il est source de fierté et nous aidera à reprendre confiance en nous.