L'homme Rouge de Luçon
Madame de Saintaignon, avait confié, à la mort de Renaud, son mari, ses deux fils, Robert le fils désiré, et Henry le fils adopté, à son ami : l'Homme rouge de Luçon, Armand Jean du Plessis, évêque du lieu.
Les deux adolescents se haïssaient, l'un voulait même tuer l'autre... Mais le destin veillait et s'appliquait à contrarier les choses et les hommes, dans ces temps de passions et de haines.
C'étaient des temps déraisonnables, où l'évêque de Luçon, Seigneur de Richelieu, voulait devenir cardinal, et où Louis - qu'on n'appellait pas encore « Le Juste » -, adolescent timide et refoulé, voulait devenir Roi de France, entraînant dans leur sillage, Robert de Saintaignon et Henri de Veyrac, arrachés à leur terre du Pays du Puy du Fou, et à leurs « genêts en fleurs ».
L'Homme Rouge de Luçon fait suite au Fantôme du Puy du Fou, prix du roman historique des Écrivains de Vendée, et prix Agrippa d'Aubigné (paru dans la même collection chez le même éditeur). L'on y retrouve les héros du premier roman consacré au destin lumineux d'une famille du Bocage vendéen.