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»Ich glaube«, sagte Eckhart von Strieben nachdenklich zu Baron Friedrich von Kant, »ihr solltet dem kleinen Fürsten einen Hund kaufen.« Friedrich sah seinen Gast erstaunt an. Eckhart war bedeutend jünger als er, was ihrer Freundschaft jedoch keinen Abbruch tat, im Gegenteil. »Einen Hund?«, fragte er gedehnt. »Hast du dich mal umgesehen hier, Eckhart? Auf dem Schloßgelände leben mindestens fünf Hunde. Dazu haben wir Pferde, einige Katzen, und eine unserer Küchenhelferinnen hält sich einen Kanarienvogel. Meinst du nicht, daß es hier auf Sternberg genügend Tiere gibt?« Eckhart lächelte. Er war ein hochgewachsener Mann, dessen dichte blonde Haare sich nur mit Mühe in eine Frisur zwängen ließen. Irgendeine Strähne stand immer vorwitzig ab und verlieh ihm ein verwegenes Aussehen. Seine blauen Augen blickten offen in die Welt und gaben Auskunft darüber, daß Eckhart Humor besaß. Er konnte sehr unterhaltsam sein, aber im Umgang mit Fremden war er zurückhaltend, beinahe schüchtern. Das wurde ihm manchmal als mangelnder gesellschaftlicher Schliff ausgelegt, denn er konnte sehr schweigsam werden, wenn ihn ein Gespräch langweilte. Belangloses Geplauder haßte er, und so war es kein Wunder, daß man ihn nur selten auf Partys oder Abendeinladungen sah, die hauptsächlich einem Zweck dienten: zu sehen und gesehen zu werden. Wenn er aber jemanden fand, mit dem er sich gern unterhielt, dann sprühte er vor Geist und Temperament. Sofia und Friedrich von Kant gehörten zu Eckharts Freunden. Er hatte auch das Fürstenpaar gut gekannt – Elisabeth und Leopold von Sternberg, die erst wenige Monate zuvor bei einem entsetzlichen Unglück gemeinsam den Tod gefunden hatten.