Une année au rythme des confinements des saisons et des couvre-feu pour tresser la parole poétique et la parole médiatique, « recycler le lyrisme et les déchets », tenter le point de vue de la campagne, de la néo-ruralité et de la terre-femme, structurer un animisme militant, se réaccorder au vivant. Il ne s'agit pas de sauver mais de faire parler ce qui reste, pour que l'écriture soit une ZAD, qu'un combat planétaire (et non mondialisé) émerge et que la langue écologique y prenne sa part.
A.B.