Manikin 100
« J'aimerais que Manikin 100 rende Manikin 101 inutile et décourage mes élèves les plus ambitieux, J'aimerais
que Manikin 100 soit un tel achèvement que l'art du mannequin ne puisse plus être derrière qu'une longue décadence avant la mort, J'aimerais qu'en le regardant, tu puisses dire, toi, Nicholas, Mon maître a fait quatre-vingt-dix-neuf ébauches. »
Dans ce texte ciselé, Antoine Bello réinvente une figure inlassablement fascinante : l'artiste forçat de la perfection.