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« La littérature est fantastique parce qu’elle permet aussi de se faire de nouveaux amis. Dès que j’ai découvert l’œuvre de Pagnol, j’ai eu l’impression de lire ma propre histoire. Le bar de César sur le port de Marseille c’était celui de mon père, "Le Bellevue", sur les hauteurs de Nice. Pagnol se prénommait Marcel comme mon père et il aimait ses parents comme j’aimais les miens. La partie de cartes où Raimu avait le cœur fendu, j’en voyais tous les jours dans les années 1950-1960. J’ai un dialogue imaginaire permanent avec Marcel Pagnol, le champion de la simplicité. Notre langue maternelle est l’observation des gens. » Bernard Morlino
L'auteur : Bernard Morlino, né à Nice en 1952. Journaliste et écrivain grâce à Emmanuel Berl. Après des débuts comme photographe de théâtre avec Antoine Vitez et Jérôme Deschamps devient critique littéraire (Lire, Globe, L’Evénement, Le Figaro Littéraire, Service Littéraire, Magazine Littéraire…) Aime le sport pour se distraire de la cruauté de l’actualité.
La collection Duetto : un écrivain en raconte un autre.