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Virtuose, William Cliff compose Matières Fermées comme un unique poème, avec de subtiles variations de rythme en parallèle à une ligne mélodique unique et entêtante. On peut ainsi lire ces sonnets comme un roman en vers mais aussi comme un recueil où l’on pourrait picorer au hasard, servi par une langue qui n’appartient qu’à lui, immédiatement reconnaissable : les tournures anciennes ou typiquement belges se mêlent à une syntaxe plus moderne, et un maniérisme semblable à la poésie baroque du XVIe siècle se confond avec un argot contemporain. On retrouve dans ces sonnets l’inspiration habituelle du poète, essentiellement autobiographique : l’enfance et la jeunesse wallonne, le goût de l’errance, une galerie de personnages hauts en couleur, dans une tradition breughélienne mais avec en plus une manière de mélanger le sordide et le somptueux qui fait toute son originalité. William Cliff allie l'archaïque des danses macabres à la modernité médicale, et ce jeu entre le contemporain et le médiéval s’étend à tout son univers, aux décors dans lesquels il évolue où le chant du rossignol passe grâce à un téléphone portable et où se rejoignent des considérations sur les tablettes informatiques, les joints, la révolution et la rudesse de la vie en Wallonie dans les années 1950.