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Il va d’abord tenter d’être réformé, invoquant des problèmes d’estomac qui gargouille, agitant ses radios sous le nez du médecin militaire. En vain. Alors il va écrire une belle lettre au député de la région, le piston imparable des gars du canton de Mauléon. Ça marche à tous les coups, assure-t-on. Quitte à partir, autant partir loin et au soleil, explique-t-il au député. Un corps lui plairait : la Marine ; une destination lui agréerait : Tahiti. Il se retrouvera à Cherbourg. « Si je reste ici, monsieur, je me suicide », annonce-t-il, à peine arrivé, au capitaine qui le reçoit. Ainsi commencent les aventures militaires de Jean-Michel Aphatie, un matin de février 1978, sous le crachin de la Manche, bonnet à pompon sur le crâne, ridicule et désespéré.