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Die seit 1902, seit der Erhebung von St. Ottilien zur Abtei, geplante Afrikareise von Abt Norbert wurde nötig, denn es bestand die Gefahr, dass sich die Gemeinschaft spalten würde in monastisch ausgerichtete Heimatklöster und in afrikanische Stationen, auf denen in freiem Ermessen oder in Absprache mit den schon länger in Afrika arbeitenden Spiritanern gearbeitet wurde. Zudem stand »die Mission« in einem zunehmend schlechten Ruf bei deutschen Siedlern und Geschäftsleuten, die vor allem gekommen waren, um Geld zu verdienen. Es macht keine Schwierigkeiten, für diesen schlechten Ruf in historischen Darstellungen immer wieder Belege zu finden.Wie war aber tatsächlich die Haltung der Ottilianer Missionare in den schwierigen Jahren seit 1905? Abt Norbert erinnerte schon bei den ersten Nachrichten von Aufständen an den »Befreiungskampf« der Deutschen gegen Napoleon. Aktive Missionare ergriffen zunehmend die Partei der von Soldaten im deutschen Dienst auf brutale Weise niedergemachten Aufständischen. Dieser abschließende Band will zeigen, was da vor sich ging und welches Konzept für die künftige Arbeit dabei entstand, um die Situation der Afrikaner, besonders die der Frauen, auf Dauer zu verbessern.