Claude Monet, peu attiré par les voyages, se rend à Londres, en 1870 d'abord, puis au tournant du siècle, trois années de suite, en plein hiver, alors qu'il est au faîte de la gloire. Quelle fièvre s'est donc emparée de lui, alors qu'il est âgé de 60 ans, et que le mauvais temps sévit?
Dominique Lobstein explore ici plus particulièrement la relation que Monet, fasciné par la Tamise, a entretenu au fil du temps avec Londres; il fait revivre le quotidien du peintre, ses enthousiasmes et ses doutes.
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