La seconde vie est une saga familiale romancée qui se passe au Québec entre les années 1920 à 1940. Elle rend hommage aux pionnières québécoises du début du XXe siècle, puis aux paysages splendides du Québec et à la diversité exceptionnelle de sa faune fantastique. Cette saga est aussi une partie de l’histoire du Québec, celle de l’entre-deux-guerres, tout en y mêlant les réserves indiennes où vivent encore les Autochtones et Amérindiens du Nord canadien.
La seconde vie met en scène deux grandes familles : l’une française, les Verdier et l’autre québécoise, les Montrieux.
La famille Verdier : Veuve de guerre, Mathurine, qui a tout perdu dans les bombardements du Nord de la France pendant la guerre 14-18, émigre au Québec avec ses 9 enfants. À la fin de la guerre, profitant d’une opportunité, Mathurine et sa famille débarquent à Montréal en 1920.
LafamilleMontrieux : Riche fermier québécois, Hippolyte a vu son fils André revenir au Québec en 1919 lorsque tous les soldats furent renvoyés dans leur foyer. En France, André avait épousé Mariette, la fille aînée de Mathurine Verdier, avant de rentrer au Québec.
Cette saga fait donc aussi référence à ma saga Guerre et Femmes d’où j’ai tiré la famille Verdier, épuisée par la guerre et qui a erré durant quatre longues années sur les routes de France sans jamais se séparer.
La seconde vie commence lorsque le débarquement laisse la famille Verdier sur le quai du port de Montréal. Après les horreurs de la Grande Guerre la veuve et ses enfants doivent se reconstruire et s’intégrer dans un pays dont ils ignorent tout.
Mathurine et sa famille amorcent une vie québécoise plus harmonieuse et plus équilibrée, sans cesse émerveillées par la splendeur de la nature du Québec. La saga se passe dans le cadre magnifique de ses forêts, ses lacs, ses montagnes, ses cascades, ses glaciers, ses villages, et le récit est ponctué d’échappées canadiennes dans le Yukon, l’Ontario, l’Alaska et la Colombie Britannique traversant de superbes paysages où évolue une faune étonnamment fantastique.
Puis, deux décennies passent jusqu’au jour où, venus de France, les bruits de la Seconde Guerre mondiale commencent à souffler.