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Dans Moroni, cet exil, un autre palier du chant « volcan » a fait son apparition parmi les strates de mots tourbillons, se répondant en écho, comme pour libérer le plein d'angoisse qui pèse lourd sur le coeur d'un père, sur la peau ? noire ? parmi les potins de « Babylone », la ville du mal, capitale de la République aux lois à plusieurs vitesses. Le poète ne passe plus par quatre chemins pour dire les ignominies d'un monde social et son organisation judiciaire qui le traquent, le jettent en prison et le contraignent à l'exil. La poésie s'empare de l'histoire personnelle, l'élargit à celle du groupe dont la cause n'est jamais gagnée d'avance. Moroni devient alors le lieu d'accueil, l'île hospitalière aux souvenirs d'où émergent ces images apaisantes : celles d'un père parmi ses enfants, comme le montre la quatrième de couverture. Le poète retrouve sa vraie terre lorsqu'il baigne dans l'affection de ses enfants ?