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En este ensayo Wolff analiza las implicaciones biográficas y musicales del nombramiento del compositor en la corte del emperador José II de Viena, el «estilo imperial» en sus obras más representativas del período y un repertorio de piezas, la mayor parte desconocidas, que dejó inacabadas. ¿Acaso la extraordinaria producción final de Mozart, cuyo inicio marcan las tres grandes sinfonías de 1788, no invita a replantearse la orientación estética de las últimas obras del compositor? En una carta de 1790, dos años después de haber ingresado en el servicio imperial como compositor de cámara, Mozart escribió que estaba en el umbral de su plenitud: sin duda, el nombramiento del compositor, que había supuesto un sueldo fijo, un título prestigioso y escasas obligaciones, contribuyó a su prolífica producción. A través de documentos, partituras y cartas de Mozart a sus allegados, Wolff no sólo crea un intenso relato, sino que ofrece una perspectiva nueva y sólida sobre la relación entre las inquietudes artísticas del maestro y las expectativas económicas.