Nicolas de Staël
ciels, terres, mers
Entre 1951 et 1955, Nicolas de Staël va confronter sa peinture aux lumières changeantes et cardinalement opposées
de l'Île de France, du Var, de la Sicile, de Ja Normandie, du Pas-de-Calais, et, finalement, d'Antibes. Il y peindra
de nombreux paysages à l'horizon toujours tendu entre ciels, terres et mers.