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¿Qué tienen en común una pintura china de hace 1.300 años, la poesía de Dylan Thomas, las investigaciones etnográficas de Lévi-Strauss, un célebre apunte de los diarios de Kafka y una es¡cena de El fuego fatuo de Louis Malle?La respuesta está en la habitación donde un hombre agoniza mientras su hijo, el escritor Ricardo Menéndez Salmón, busca en el último paisaje que su pa¡dre ha contemplado una revelación que quizá no exista.No entres dócilmente en esa noche quieta es una ofrenda, una elegía y una expiación. Es también el intento por reconstruir una existencia que camina hacia la madurez, la de quien escribe, a través de una existencia que se agota sin remedio, la de quien le entregó la vida.Como Philip Roth en Patrimonio, Amos Oz en Una historia de amor y oscuridad y Peter Handke en Desgracia impeorable, Ri¡cardo Menéndez Salmón se zambulle en las aguas de la historia familiar para explicarse a sí mismo a través de las luces y sombras de su padre. Recorre las estancias del heroísmo y la miseria, la bondad y el desdén, el gozo y la enfermedad, y nos entrega un documento de contenida emoción y ardiente honestidad.